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 L'importance de nos émotions dans  

notre alimentation

 Perte de poids

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L’alimentation répond à 3 fonctions principales, nutritionnelle, socio-culturelle et hédonique (le plaisir de manger).

Manger sollicite presque tous nos sens, la vue bien sûr, le goût, et aussi l'odorat et le toucher. En réalité, nous mangeons surtout avec notre cerveau, notamment avec nos pensées et nos émotions.

 

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Ce qui agit sur notre façon de manger

Nous ne sommes pas aujourd'hui réellement calés sur une séquence alimentaire faim-appétit-satiété-rassasiement et notre comportement ne respecte malheureusement pas nos états physiologiques.

La plupart du temps, nos pensées et nos émotions prennent le dessus sur nos sensations alimentaires.

Le stress, par exemple peut donner envie de manger; la nourriture devient un refuge pour évacuer la pression et l’anxiété. Entre le travail et les contraintes familiales, nous grignotons entre les repas et nous mangeons souvent pour remplir un vide intérieur ou pour nous réconforter.

A côté de cela, nous pensons, nous réfléchissons, nous rationalisons et intellectualisons notre alimentation.

"Est-ce c'est  bon pour ce que j’ai ?",  "on m' a dit que " , "j’ai lu que"

L'éducation ainsi que l'environnement ont également un impact sur notre relation à l’alimentation en contribuant à l’organisation de nos pensées : "Fais attention", "finis ton assiette" , "tu ne sors pas de table tant que tu n’as pas finis ton repas" ...

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Retrouver ses sensations alimentaires

Un régime sans régime dont la première étape est d'apprendre à reconnaître la faim, la vraie. Et pour cela, attendre les premiers signes physiques,  les gargouillis du ventre.  Une fois la faim apprivoisée, le plus dur est de savoir s’arrêter quand on a assez mangé. Ce sentiment de satiété reste difficile à identifier, surtout lorsqu’on a passé son temps entre les restrictions  et compulsions. Il survient plus de vingt minutes après que l’on ait commencé à manger avec une impression de perte de saveur. Dès que le plaisir disparaît , il est temps de cesser de manger. 

Mobiliser tous ses sens. Solliciter l’odorat qui réveille souvent les émotions liées à l’enfance et qui ont conditionné notre rapport à la nourriture.

Mais aussi bien sûr le goût, déguster lentement et garder vingt secondes en bouche. On découvre alors bien des saveurs que l'on ne connaissait pas...

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